1649, "PIBRAC - Histoire de l'église, du village et du château", "Anatole du Faur", "1997, réimpression de l'ouvrage paru en 1882", "Format 14 X 20. 100 pages", 100, "", 4, "Ancien élève de l'École polytechnique, Anatole du Faur, comte de Pibrac, fait paraître en 1882 son étude historique sur Pibrac, son église et son château. Au début du XIIe siècle, Pibrac n'estqu'un castrum, « espèce de refuge bâti sur une hauteur, où le seigneur avait établi sa résidence ». Près de cette demeure se trouve un modeste oratoire, probablem ent remplacé par l'église actuelle. La célèbre ordonnance de Louis X qui, en affranchissant les serfs, proclame les principes de la liberté naturelle des hommes, donne lieu, dans certaines parties de la France, à de vives contestations. Ainsi, à Pibrac, un acte du 19 mars 1319 rapporte un procès entre les habitants de la localité, d'une part, et le commandeur de l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, d'autre part, au sujet des dunes de Pibrac. Après les troubles religieux qui sévirent dans le midi de la France, et qui furent à l'origine de la dévastation de nombreuses églises, le Parlement rend en 1571 des ordonnances touchant la restauration des édifices religieux. Ce n'est qu'en 1603, que Ferdinand Alarus, doyen d'Isle-Jourdain, se conformant aux ordres donnés dans le mandement de Mgr le cardinal de Joyeuse, archevêque de Toulouse, se rend à Pibrac pour signaler les réparations urgentes à faire dans l'église. Le comte de Pibrac établit également la liste et la destinée des seigneurs du lieu, depuis Pierre de Pibrac, au début du XIIe siècle, jusqu'à Daniel du Faur de Cormont en 1794. Nous parcourons ainsi les siècles du passé de Pibrac, sans temps mort. Les événements, les personnages et les monuments liés à la localité se dévoilent au cours de cet ouvrage auquel nous avons ajouté une iconographie. |
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