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Monographies des villes et villages de France
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2007, "PLOUHINEC et POULGOAZEC. Monographie des deux paroisses", "le chanoine Henri Pérennès", "2003, réimpression de l'ouvrage paru en 1942", "Format 14 X 20. 90 pages", "11e", "", 4, "Plouhinec, la commune la plus peuplée du Cap-Sizun, est bien connue des amoureux du Finistère pour la beauté de son environnement (ses dunes en particulier) et la richesse de son patrimoine archéologique : dolmen de Ménez-Koriged, site paléolithique de Ménez-Drégan, église Saint-Winoc, hameaux, fontaines et lavoirs. Quant au port de Poulgoazec, où sont vendus, chaque jour, à la criée, poissons et crustacés, il a, lui aussi, une origine très ancienne. Il n'est donc pas surprenant que le chanoine Pérennès, historien passionné du département, ait choisi ces « deux paroisses » (création de celle de Poulgoazec, le 12 avril 1926), pour les faire revivre au passé. Soucieux de ne rien négliger, l'auteur dresse d'abord le panorama de Plouhinec (paroisse du doyenné de Pont-Croix, étymologie de son nom, superficie, productions locales, limites...), puis il évoque ses « monuments antiques », ses seigneuries et ses manoirs, son église paroissiale (XVIe siècle, remaniements au XVIIIe), ses calvaires et ses chapelles et sa vie religieuse au fil du temps (les recteurs depuis le XIIIe siècle et la période révolutionnaire).
Il nous donne, par ailleurs, la liste de tous les recteurs de Plouhinec, avant, pendant et après la Révolution, celle des vicaires et des prêtres originaires de la commune, relate les naufrages qui ont eu lieu dans la baie et dont les débris sont venus échouer sur la côte (de 1734 à 1798, en passant par 1742, 1762, 1776...), avant de décrire la translation d'une relique de saint Winoc, de Bergues à Plouhinec (1900). Même rigueur dans la recherche et dans la précision de l'information à propos de Poulgoazec : présentation, illustration à l'appui, du bourg, « centre commercial très actif », et du manoir de Locquéran, qui appartint à Yvon Le Rougeart (1455), puis aux Kerguélen de Keramorch et enfin aux Le Livec (1768), et évocation des chapelles Saint-Julien et Saint-Jean (qui releva de la commanderie de Saint-Jean du Paraclet). Les naufrages sont, ici aussi, recensés (Un archevêque grec noyé sur la côte en 1684), ainsi que la légende de Toull-ar-Zôner, et la biographie du chanoine François Cornou (1873-1930) est retracée.
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