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Monographies des villes et villages de France
Des livres de référence d'histoire locale

2711, "FONTAINEBLEAU (L'ancien). Histoire de la ville, rues, maisons, habitants au XVIIe siècle", "Félix Herbet", "2008, réimpression de l'ouvrage paru en 1912", "Format 14 X 20. 596 pages", "74e", "", 4, "Félix Herbet invite le lecteur à découvrir Fontainebleau à la manière d'un puzzle. Il reconstitue, en effet, l'histoire de la ville en détaillant chaque demeure qui la compose. Partant du principe qu'une ville n'est pas simplement un regroupement d'hommes bénéficiant d'une structure qui leur apporte la sécurité et le bien-être, mais aussi un système de quartiers divisés par des rues qui contiennent une quantité de maisons, l'auteur propose une monographie domestique, où chaque article est la chronique d'une habitation. Pour chacune d'elles, il s'est efforcé de déterminer la date de construction et les circonstances de sa fondation. Il a enregistré les transactions dont elle a pu faire l'objet ainsi que son morcellement ou son agrandissement éventuel. Il a consigné les noms des propriétaires successifs, voire des locataires. Pour les hôtels seigneuriaux, il a mentionné le nom des concierges qui, à une époque où les maîtres étaient souvent absents, constituaient l'élément permanent de l'habitation. Le carrefour de la Croix des Ministres, par exemple, fait découvrir au lecteur à la fois les bâtiments de l'hôtel de Montmorency ou du couvent des Mathurins et les ministres qui s'y sont succédé, relatant les faits et les intrigues en tout genre qui ont pu s'y produire, inventoriant aussi le mobilier cultuel tel que les commissaires de la Convention l'avaient recensé avant sa vente, pendant la Révolution. Certaines rues ont un passé très riche, comme par exemple, la rue Basse (qui correspond à l'actuelle rue du Château), considérée parfois comme la plus ancienne de Fontainebleau. Le Saint Paradis, devenu l'Écu d'Orléans, y abritait l'émailleur du roi ; le Mouton fut probablement la demeure de Jamin-Changeart, premier maire de Fontainebleau, à la fin du XVIIIe siècle. La chronique de la Belle Image nous conte l'histoire d'Estienne Lenfant qui quitta Paris pour s'y installer, mais y vécut des malheurs de tous ordres. Père dépassé par les frasques de ses trois filles qui défrayaient les conversations de ses voisins, il se trouva compromis dans le procès Foucquet. Félix Herbet invite le lecteur à découvrir Fontainebleau à la manière d'un puzzle. Il reconstitue, en effet, l'histoire de la ville en détaillant chaque demeure qui la compose. Partant du principe qu'une ville n'est pas simplement un regroupement d'hommes bénéficiant d'une structure qui leur apporte la sécurité et le bien-être, mais aussi un système de quartiers divisés par des rues qui contiennent une quantité de maisons, l'auteur propose une monographie domestique, où chaque article est la chronique d'une habitation. Pour chacune d'elles, il s'est efforcé de déterminer la date de construction et les circonstances de sa fondation. Il a enregistré les transactions dont elle a pu faire l'objet ainsi que son morcellement ou son agrandissement éventuel. Il a consigné les noms des propriétaires successifs, voire des locataires. Pour les hôtels seigneuriaux, il a mentionné le nom des concierges qui, à une époque où les maîtres étaient souvent absents, constituaient l'élément permanent de l'habitation. Le carrefour de la Croix des Ministres, par exemple, fait découvrir au lecteur à la fois les bâtiments de l'hôtel de Montmorency ou du couvent des Mathurins et les ministres qui s'y sont succédé, relatant les faits et les intrigues en tout genre qui ont pu s'y produire, inventoriant aussi le mobilier cultuel tel que les commissaires de la Convention l'avaient recensé avant sa vente, pendant la Révolution. Certaines rues ont un passé très riche, comme par exemple, la rue Basse (qui correspond à l'actuelle rue du Château), considérée parfois comme la plus ancienne de Fontainebleau. Le Saint Paradis, devenu l'Écu d'Orléans, y abritait l'émailleur du roi ; le Mouton fut probablement la demeure de Jamin-Changeart, premier maire de Fontainebleau, à la fin du XVIIIe siècle. La chronique de la Belle Image nous conte l'histoire d'Estienne Lenfant qui quitta Paris pour s'y installer, mais y vécut des malheurs de tous ordres. Père dépassé par les frasques de ses trois filles qui défrayaient les conversations de ses voisins, il se trouva compromis dans le procès Foucquet.
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