475, "MAULE et ses environs", "Émile Réaux", "1990, réimpression de l'ouvrage paru en 1866", "Format 14 X 20. 360 pages", "42e", "", 4, "Émile Reaux nous croque à vif la rudesse des temps reculés. Clovis et ses hommes, tout droit sortis des forêts de la Germanie, investissent Mantia. Le pillage est facilité par la fuite des habitants qui se réfugient au pied de deux coteaux. L'affront des Barbares est ainsi la raison d'être de Mareil et Maule. Loin des turbulences de l'histoire, le médecin Goisbert choisit, à la fin de sa carrière, de se retirer au couvent de forêt. L'homme de science ne se limite pas à la sage prière. Il inscrit sa foi jusque dans la pierre par l'édification d'un prieuré et la réparation de l'église Saint-Vincent. Lieu de culte, Maule est aussi une base idéale. En 1357, les troupes de Philippe de Navarre installent leur quartier général dans le château fort qu'ils rendent imprenable. De là, la ronde des pillages peut s'organiser. Les communes entourant Maule forment un panaché de premier ordre : Montainville et son vieux donjon Herbeville et les méfaits de la peste noire, Mareil et l'hôte royal de son abbaye, en sont quelques aperçus. |
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